Chers amis visiteurs,
Bienvenue sur le site internet du Pôle missionnaire du pays d’Alençon sur lequel vous trouverez tous les éléments nécessaires à votre vie chrétienne pour les semaines à venir :
sans oublier une page spéciale pour chaque paroisse.
Bonne visite à tous !
P. Loïc GICQUEL des TOUCHES,
doyen du pôle missionnaire
Samedi 16 mars : 18h Saint-Léonard
Dimanche 17 mars :
8h30 Clarisses 10h00 Perseigne
11h00 Basilique (3e scrutin) et Saint Germain du Corbéis (messe des familles).
Samedi 16 mars, préparation à la première communion (16h20) ; les enfants de la 1ère communion qui se préparent au baptême : 15h au presbytère du Bercail (paroisses sainte Thérèse et Notre Dame)
19h, Providence, « Danses et Crêpes » en faveur de Lourdes (voir plus bas).
Le samedi 16 mars 2020 commençait en France le premier confinement.
Dimanche 17 mars, basilique 11h, 3e scrutin pour les catéchumènes de notre paroisse : Alba, Cindy et Kelly (jeunes mamans) ; et pour Julie, Alice, Olivia, Andréa, Tristan et Mélissa (étudiants ou lycéens et collégiens).
Adoration eucharistique pour les femmes "les sentinelles de l'Invisible" jeudi, 21 mars, 21h - 22 h chapelle au monastère Sainte Claire (rue de la demi lune)
Dimanche 24 mars 2024, à l’occasion de la Saint Joseph, en l’église Saint-Pierre de Montsort, chapelet à 16h, suivi d’un goûter.
Au Planet’Ciné d’Alençon vendredi 5 avril à 20h30 : « Que notre joie demeure », un film de Cheyenne Caron centré sur les derniers jours du père Jacques Hamel, assassiné dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvray. En juillet 2016, Adel Kermiche a tué le père Jacques dans son église. Le parcours chaotique, tourné vers la destruction a anéanti une vie tournée vers l’autre et le sacré. Pourtant de cet anéantissement a jaillit mondialement un témoignage de bonté, celui du père Jacques.
Les mercredis de carême mettent l’accent sur Lourdes :
5e mercredi de carême le 20 mars, 20h30 à la Providence, projection du documentaire « Lourdes », de Thierry Demaizière. « Un regard plein d’émotion et de grâce.
Bien au-delà de la foi, Lourdes est filmé comme un grand théâtre où se croisent des histoires bouleversantes ». 1h28.
Toujours dans le même format 18h30 – 22h : messe à la basilique 18.30 / repas jeûné soupe-pain-pommes / 20h30, conférence – rencontre - film
Nous aimerions partir avec le plus grand nombre possible de pèlerins, du 4 au 9 août… et surtout emmener quelques personnes qui grâce à votre générosité pourront y aller (coût du pèlerinage : environ 600 €). Chaque mercredi, votre offrande sera versée dans ce but.
Autres actions :
- Complet : soirée « Danse et crêpes » (et jeux de société pour ceux qui ne peuvent pas danser !) le samedi 16 mars à la Providence à partir de 19h.
- vente de petits sachets de « friture » de chocolats Glatigny aux Rameaux et à Pâques. Infos supplémentaires : Catherine et Bruno Barbry, 06 64 67 42 91 et bruno.barbry@orange.fr
- Aller en Jordanie avec le P. Loïc GdT : Aqaba, Mont Nebo, Petra, Jerash, Wadi Rum… Du 14 au 21 octobre. Contact : loic.gdt@gmail.com
- Messe chrismale : Mardi 26 mars, 18h30 en la cathédrale de Sées (avec les catéchumènes adultes et ados du diocèse).
Le diocèse vous propose de participer au buffet (15 € pour les adultes), servi à la communauté de la Providence, 27 rue de Loutreuil – Sées, après la messe Chrismale.
Inscriptions ICI - INSCRIPTIONS AVANT LE 19 MARS. Votre inscription ne sera validée qu’une fois le paiement reçu. Paiement à effectuer par chèque au presbytère 27 rue du Bercail à l’ordre de paroisse Notre Dame. Merci
- 20 et 21 avril, Giel : Rassemblement diocésain pour les 6e, 5e et 4e
- 28 avril au 5 mai : Pélé Taizé pour les lycéens et les étudiants infos ici
- Pélé diocésain sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle, du 29 avril au 5 mai 2024. Infos ICI
- Carême : Le service diocésain de la Diaconie vous propose le message du pape François pour le carême ICI (quelques § ci-dessous). S'appuyant sur le livre de l'Exode, il nous invite à redécouvrir l'amour de Dieu, un amour éternel, appelés à aimer et à être attentifs aux autres qui sont nos frères, en prenant soin des plus fragiles.
(Mgr Eric de Moulins-Beaufort, La Croix, 12 mars 2024)
Quelques jours seulement après l’inscription du droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, ce texte sur la fin de vie touche à nouveau à une question éthique. Comment réagissez-vous, êtes-vous inquiet de ces évolutions ?
Mgr Éric de Moulins-Beaufort : Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie. Les Français n’envisageraient pas de la même manière la fin de vie si les soins palliatifs étaient chez nous une réalité pour tous partout, comme le voulait la loi dès 1999. Notre pays devrait être, depuis la loi Claeys-Leonetti, un pays en pointe sur les soins palliatifs. Or, le président présente un texte tout ficelé sur ce qu’il appelle « l’aide à mourir » mais, sur les soins palliatifs, de vagues promesses.
Vous avez rencontré le président à plusieurs reprises, notamment sur ce sujet de la fin de vie. Retrouvez-vous dans ce texte ce que vous avez pu lui dire ?
Mgr É. M.-B. : Le président a annoncé depuis longtemps ne pas vouloir brusquer les esprits sur les sujets sociétaux. Il a reçu beaucoup de personnes, y compris les responsables de culte, c’est indéniable. Mais il est habile aussi. Il parvient à reprendre et à approprier au texte annoncé notre grand point d’insistance qui est la fraternité. Appeler « loi de fraternité » un texte qui ouvre à la fois le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie. Une telle loi, quoi qu’on veuille, infléchira tout notre système de santé vers la mort comme solution. Parler d’aide à mourir, c’est de la rhétorique. Nous, évêques, demandons que la société aide à vivre et à vivre jusqu’au bout, jusqu’à la mort. Ce qui aide à mourir de manière pleinement humaine, ce n’est pas un produit létal, c’est l’affection, la considération, l’attention.
Par ce projet de loi, Emmanuel Macron ne cherche-t-il pas à répondre à la demande majoritaire des Français ?
Mgr É. M.-B. : Le président met en avant les « souffrances réfractaires ». Elles font peur à tout le monde. Mais bien des spécialistes assurent que leur traitement médical progresse. Qu’est-il fait pour encourager la recherche ? Bien sûr, il y a des souffrances, et personne ne souhaite souffrir, les catholiques pas plus que les autres. Je ne sais pas ce que je serai capable de supporter et je n’ai aucune envie de souffrir, ni de voir souffrir mes proches, ni personne. Mais penser que la solution consiste à faire mourir et non pas à soutenir, accompagner, aimer… c’est effrayant ! Ne vaudrait-il pas mieux développer le soutien aux « aidants » ?
Le président énonce un cadre très précis, avec l’intervention dans des délais courts et une décision collégiale de l’équipe médicale. Cela ne fait-il pas peser une responsabilité trop lourde aux soignants ?
Mgr É. M.-B. : Je ne peux pas parler à la place des soignants. Ils diront ce qu’ils pensent de la responsabilité qui leur est donnée. Je crois au caractère normatif de la loi. Elle infléchit forcément les usages, les comportements, les manières de penser : au cœur de notre système de santé, il y aurait désormais ce possible, tellement plus facile et moins coûteux que tout le reste. Quel est, quel sera notre pacte social ? Je suis stupéfait que les Ehpad soient mentionnés parmi les lieux possibles. Comment réagiront les autres résidents ? À quel double jeu veut-on contraindre les personnels soignants ?
Une partie importante du projet de loi porte sur les soins palliatifs. N’est-ce pas la meilleure réponse à la détresse qui touche les patients et les familles ?
Mgr É. M.-B. : Je ne vois pas que ce soit une partie importante du projet. Le président en parle, mais il faut des actes concrets. À ce stade, il n’y a que des promesses vagues, comme depuis vingt ans. Nous avons besoin non seulement d’unités de soins palliatifs, mais aussi du développement d’une culture de l’accompagnement de la douleur depuis le commencement de la prise en charge des patients.
Il y a un peu plus d’un an, l’Académie pontificale pour la vie s’est montrée favorable à ce que l’Église italienne ne s’oppose plus à la législation sur le suicide assisté. Serait-ce un moindre mal par rapport à l’euthanasie, dans une société où la culture chrétienne n’est plus majoritaire ?
Mgr É. M.-B. : Le moindre mal reste un mal. Le projet actuel mêle les deux gestes. La foi chrétienne éclaire en profondeur notre conception de la vie et de nos responsabilités humaines, mais il n’y a pas besoin d’être chrétien pour penser qu’une société se grandit en refusant de donner la mort et en mobilisant ses forces pour accompagner chacun jusqu’au bout de sa vie. Il n’y a pas besoin de croire en Dieu pour comprendre le danger qu’il y a à ce qu’une société participe à mettre fin à une vie humaine.
Le projet de loi va être soumis au Parlement dans les mois qui viennent : allez-vous manifester d’une manière ou d’une autre contre ce projet de loi de l’aide à mourir ?
Mgr É. M.-B. : Nous essaierons de dialoguer avec tous. L’enjeu est immense. J’invite les parlementaires à mesurer combien est ambigu le texte annoncé. C’est un faux progrès d’offrir la mort comme solution. Ils ont voté la loi Claeys-Leonetti. Il leur revient d’exiger qu’elle soit mise en œuvre réellement. Qu’ils réalisent le poids que le vote d’une telle disposition fera peser sur nos concitoyennes et concitoyens malades, proches de la fin de leur vie et seuls. Comment ne se sentiront-ils pas, encore davantage, un poids inutile sur la société ? Tout être humain est nécessaire à tous les autres.
Recueilli par Christophe Henning
17 mars, Basilique : Joséphine BELLEC
30 mars, Basilique : Olivia BARILLET, Andréa BOUQUEREL, Kelly BUREAU, Alice CAGNOLI, Julie LECADRE, Cindy LEDAUPHN, Tristan RENARD, Mélissa RENARD, Alba TYTGAT
31 mars, Christ-Roi : Joy GAUTIER et Agathe COURVASIER
31 mars, Basilique : Joseph FERCHAUD, Zoran GOSNET, Ferréol CHASTELAIN DE BELLEROCHE, Valentine LEMEE
Prions pour Odile DUPREZ, Geneviève DESSAY, Jacqueline CHARPENTIER inhumées cette semaine et pour Gilbert BORDEREAU et Albertine HOFMAN qui le seront la semaine prochaine.
Toutes les infos du sanctuaire et horaires d’ouverture : Ici
Horaires d’ouverture de la Maison Martin :
- de novembre à Mars : 10h-12h et 14h-17h
- d’avril à octobre : 9h30-12h et 14h-18h
- La maison est fermée les lundis (sauf de juin à septembre), le dimanche matin et le mois de janvier
Chapelle Sainte-Thérèse (50 rue Saint-Blaise) ouverte tous les jours de 9h à 18h
Carême : Tous les vendredis
pendant le Carême (à l’exception du vendredi saint), à 17h45 à la chapelle Sainte-Thérèse, chemin de croix, suivi des vêpres et temps d’adoration possible jusqu’à 19h15.
Dimanche 24 mars 2024, à l'occasion de la Saint Josph, en l'église Saint-Pierre de Montsort, chapelet à 16h, suivi d'un goûter.