Le frère Thomas a beaucoup insisté sur la volonté des futurs martyrs de vivre une réelle communion avec les Algériens. Certes, soulignera-t-il, le dialogue n’a jamais été facile. Les religieux en Algérie ont voulu vivre comme une église pauvre et discrète, amicale. Ce qui les faisait vivre : l’eucharistie de chaque jour (7 ont été assassinés, soit en allant à la messe, soit en revenant…). Tous étaient enfin animés d’un profond respect envers la foi musulmane.